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blog d'une fille comme les autres

blog d'une fille comme les autres
  • Ya tellement de chose qui se passe dans une vie... Tellement de conseils a demander, mais à qui le faire quand on ne peut ni parler aux adultes, ni aux amis... Ni a nos proches... Ce blog est fait pour tous ceux qui ne savent plus trés bien ou ils en sont
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13 février 2005

citations en vrac

La personne qui se suicide, ce n'e'st pas la vie qu'elle veut s'enlever. C'est la souffrance qu'elle veut tuer.

Petit, tu entres dans la vie en pleurant alors qu'autour de toi les gens rient. Vis ta vie de maniere a mourir en souriant alors qu'autour de toi, on pleurera.

Le rire, comme les
essuie-glaces,
permet d'avancer même
s'il n'arrête pas
la pluie.
...Gérard Jugnot

 

 

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13 février 2005

J'ai reçu des fleurs aujourd'hui...

J'ai reçu des fleurs aujourd’hui.  Ce n'était pas mon anniversaire ni un autre jour spécial.  Nous avons eu notre première dispute hier dans la nuit et il m'a dit beaucoup de choses cruelles qui m'ont vraiment blessées.  Je sais qu'il est désolé et qu'il n'a pas voulu dire les choses qu'il a dites parce qu'il m'a envoyé des fleurs aujourd’hui.

J'ai reçu des fleurs aujourd’hui .  Ce n'était pas notre anniversaire ni un autre jour spécial.  Hier, dans la nuit, il m'a poussé contre un mur et a commencé à m'étrangler.  Ça ressemblait à un cauchemar, je ne pouvais croire que c'était réel.  Je me suis réveillée ce matin le corps douloureux et meurtri.  Je sais qu'il doit être désolé parce qu'il m'a envoyé des fleurs aujourd’hui.

J,ai reçu des fleurs aujourd’hui et ce n'était pas la fête des mères ni un autre jour spécial.  Hier, dans la nuit, il m'a de nouveau battu, c'était beaucoup plus violent que le! s autres fois.  Si je le quitte, que deviendrais-je?  Comment prendre soin de mes enfants?  Et les problèmes financiers?  J'ai peur de lui mais je suis effrayée de partir.  Mais je sais qu'il doit être désolé parce qu'il m'a envoyé des fleurs aujourd’hui.

J'ai reçu des fleurs aujourd’hui.  Aujourd’hui c'était un jour très spécial, c'était le jour de mes funérailles.  Hier dans la nuit, il m'a finalement tué.  Il m'a battu à mort.  Si seulement j'avais trouvé assez de courage pour le quitter, je n'aurais pas reçu de fleurs aujourd’hui.

13 février 2005

Je suis allée à une soirée maman...

Je suis allée à une soirée, maman,
et je me suis souvenue de ce que tu m'avais dit.
Tu m'avais dit de ne pas boire, maman,
alors je n'ai pas bu.
Je n'ai pas bu avant de conduire, maman,
même si les autres m'ont incitée.
Je sais que j'ai fait la bonne chose, maman.
Je sais que tu as toujours raison.

Maintenant, la boum est presque terminée, maman,
et tout le monde prend le volant.
Quand je suis entrée dans mon auto, maman,
j'ai su que je rentrerais à la maison en 1 grâce à la
manière dont tu m'as élevée.
J'ai commencé à conduire, maman,
et comme je sortais pour prendre la route,
l'autre auto ne m'a pas vue, maman, et elle m'a frappé.
Je suis étendue sur le pavé, maman.

J'ai entendu le policier dire que l'autre garçon était saoul, maman, et maintenant, je suis celle qui paye!
Je suis couchée ici, en train de mourir, maman,
j'espère que tu arriveras bientôt.
Comment ceci pouvait m'arriver à moi, maman?
Ma vie vient d'éclater comme un ballon.
Je baigne dans mon sang, maman.
J'entends les ambulanciers parler, maman,
et je vais mourir dans peu de temps.

Je voulais simplement te dire, maman :
je te jure que je n'ai pas bu!
C'était les autres maman.
Les autres n'ont pas réfléchi.
Ce garçon était probablement à la même soirée que moi.
La seule différence c'est qu'il a bu et que c'est moi qui vais mourir. Je sens beaucoup de douleur maintenant.

Le garçon qui m'a frappé marche
et je ne crois pas que ce soit juste.
Je suis étendue ici en train de mourir et il me regarde
en me fixant...

Dis à mon frère de ne pas pleurer, maman.
Dis à papa d'être brave et quand je serai au paradis, maman,
tu écriras: la fille à papa, sur ma pierre tombale.
Quelqu'un aurait dû lui dire, maman,
de ne pas conduire s'il avait bu.
Si seulement quelqu'un lui avait dit, maman,
je serais encore vivante.
Ma respiration devient de plus en plus courte, maman,
et j'ai peur.
S'il-te-plait, ne pleure pas maman.
Quand j'avais besoin de toi tu étais toujours là.
J'ai une dernière question maman avant de te dire adieu:
Je n'ai pas bu avant de conduire, alors pourquoi suis-je celle qui meurt?

13 février 2005

UN SIMPLE PETIT PAQUET DE SOIE...

Mon ami ouvrit le tiroir de la commode de son épouse et en sortit un petit paquet enveloppé de soie :
"Ceci, dit-il, n'est pas un simple paquet, c'est de la lingerie".
Il jeta le papier et observa la soie et la dentelle.

J'ai acheté ceci la première fois que nous sommes allés à New York, il y a 8 ou 9 ans, mais elle ne l'a jamais utilisé.
Elle voulait le conserver pour une occasion spéciale.
Et bien. je crois que c'est le bon moment justement."
Il s'approcha du lit et rajouta ce paquet à d'autres choses que les pompes funèbres emmèneraient.
Sa femme venait de mourir.

En se tournant vers moi, il me dit : "Ne gardes rien pour une occasion spéciale.
Chaque jour que tu vis est une occasion spéciale!"

Je pense toujours à ces paroles ; elles ont changé ma vie.
Aujourd'hui, je lis beaucoup plus qu'avant et je nettoie moins.
Je m'assieds sur ma terrasse et admire le paysage sans prêter attention aux mauvaises herbes du jardin.
Je passe plus de temps avec ma famille et mes amis, et moins de temps au travail.
J'ai compris que la vie est un ensemble d'expériences à apprécier.
Désormais, je ne conserve rien.
J'utilise mes verres en cristal tous les jours.
Je mets ma nouvelle veste pour aller au supermarché si l'envie m'en prend.
Je ne garde plus mon meilleur parfum pour les jours de fête, je l'utilise dès que j'en ai envie.
Les phrases du type "un jour" et "un de ces jours" sont en train d'être bannies de mon vocabulaire.
Si cela en vaut la peine, je veux voir, entendre et faire les choses maintenant.

Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu'aurait fait la femme de mon ami si elle avait su qu'elle ne serait plus là demain (un demain que nous prenons tous à la légère).
Je crois qu'elle aurait appelé sa famille, ses amis intimes.
Peut-être aurait-elle appelé quelques vieux amis pour faire la paix ou s'excuser pour une vieille querelle passée.
J'aime penser qu'elle serait peut-être allée manger chinois (sa cuisine préférée).

Ce sont toutes ces petites choses non faites qui m'énerveraient beaucoup si je savais que mes heures sont comptées.
Je serais énervé de ne plus avoir vu certains de mes amis avec lesquels je devais me remettre en contact "un de ces jours.
" Enervé de ne pas avoir écrit les lettres que j'avais l'intention d'écrire "un de ces jours".
Enervé de ne pas avoir dit assez souvent à mes proches combien je les aime.

Maintenant, je ne retarde rien, ne repousse ou ne conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies.
Je me dis que chaque jour est spécial.
Chaque jour, chaque heure, chaque minute est spéciale."

Si tu reçois ce message, c'est que quelqu'un te veut du bien, et parce que toi aussi, de ton côté, tu as des gens qui te sont chers.
Si tu es trop occupé pour prendre quelques minutes pour l'envoyer à d'autres et que tu te dis: je l'enverrai 'un de ces jours", c'est loin... peut-être que tu ne le feras jamais.

13 février 2005

LE PORTEUR D'EAU

En Chine, un porteur d’eau possédait deux grosses cruches, chacune d’elle pendante aux extrémités d’une solide perche qu’il portait sur ses épaules.

L’une des cruches était fêlée, tandis que l’autre était parfaite et livrait toujours une pleine portion d’eau.

À la fin de la longue marche du ruisseau à la maison, la cruche fêlée arrivait toujours à moitié pleine. Tout se passa ainsi, jour après jour, pendant deux années entières où le Porteur livrait seulement une cruche et demi d’eau à sa maison.

Évidemment, la cruche qui était sans faille se montrait très fière de son travail parfaitement accompli. Mais la pauvre cruche fêlée était honteuse de son imperfection, et misérable du fait qu’elle ne pouvait accomplir que la moitié de ce qu’elle était supposé produire.

Après ces 2 années de ce qu’elle percevait comme étant une faillite totale de sa part , un jour, près du ruisseau, elle s’adressa au Porteur d’eau , « J’ai honte de moi-même, et à cause de cette fêlure à mon côté qui laisse fuir l’eau tout au long du parcours lors de notre retour à votre demeure. »

Le Porteur s’adressa à la cruche, « As-tu remarqué qu’il y avait des fleurs seulement que de ton côté du sentier, et non sur le côté de l’autre cruche?

C’est que j’ai toujours été conscient de ta fêlure, et j’ai planté des semences de jolies fleurs seulement de ton côté du sentier, et chaque jour durant notre retour, tu les as arrosées.
Durant ces deux années j’ai pu cueillir ces jolies fleurs pour décorer notre table. Si tu n’avais pas été comme tu l’es, nous n’aurions jamais eu cette beauté qui a égayée notre maison »
 


La morale :

Chacun de nous avons nos imperfections. Nous sommes tous des cruches fêlées.

Mais ce sont les failles et les fêlures que chacun de nous avons qui rend notre vie commune plus intéressante et gratifiante.

Vous devez accepter chaque personne pour ce qu’elle est, et percevoir ce qu’il y a de bon en elle.

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7 février 2005

J'ÉTAIS PRESSÉE

J'étais pressée.

J'arrivai dans la cuisine en toute hâte, vêtue de mon plus beau tailleur, préoccupée de me préparer pour une réunion en soirée. Gillian, ma fille de quatre ans, dansait en écoutant une vieille chanson qu'elle aime beaucoup : Cool, la chanson titre du film West Side Story.

J'étais pressée, presque en retard. Pourtant, une petite voix intérieure me disait "Arrête-toi".

Je m'arrêtai donc. Je la regardai. Puis je lui pris la main et la fis tourner. Ma fille de sept ans. Caitlin, se joignit à nous et je la pris par la main elle aussi.  Toutes les trois, nous fîmes quelques pas de boogie-woogie à travers la salle à manger et le salon. Nouis riions. Nous tournions.  Les voisins voyaient-ils nos folies par la fenêtre. Aucune importance. La chanson se termina et je leur tapotai les fesses en leur disant d'aller prendre leur bain.

Elles montèrent l'escalier en riant fort, essoufflées. Je retournai à mes affaires. L'instant d'après, pendant que je fouillais dans la paperasse de mon attaché-case, j'entendis la plus jeune dire à sa soeur :

- Caitlin, on a la plus bonne des mamans, hein ?

Je figeai sur place.  Dans ma hâte, j'étais passée à deux cheveux de manquer ce moment. Je songeai aux distinctions et aux diplômes qui couvraient les murs de mon bureau.  Aucune distinction, aucune réalisation ne pouvaient se comparer à celle-ci :  On a la plus bonne des mamans, hein ?

Ma fille avait quatre ans lorsqu'elle prononça ces mots. Je ne m'attends pas à ce qu'elle les dise encore à l'âge de quatorze ans. Mais à cinquante ans, lorsqu'elle se penchera sur mon cercueil pour faire ses adieux à l'enveloppe libérée de mon âme, je veux qu'elle les dise encore.

On avait le plus bonne des mamans, hein ?

Cette phrase ne figure pas dans mon curriculum vitae, mais je veux qu'elle soit gravée sur ma pierre tombale.


................................................................
 

Le travail peut attendre pendant que vous montrez à l'enfant l'arc-en-ciel,
mais l'arc-en-ciel n'attendra pas que vous ayez terminé votre travail.

...Patricia Clafford

7 février 2005

LE PETIT GARÇON ET LES BALLONS

Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus, blancs, noirs, jaunes...

Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui
hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.

"Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut
que les autres ?"

Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon
dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit :

"Regarde"

Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent,
montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement
ils sont hauts.

"Tu as vu ?"

"Oui"

"Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les
autres ?"

"Oui Monsieur"

"Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes.
L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur.
Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a
en toi qui fera toute la différence dans ta vie."
7 février 2005

LE CADEAU

Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fille de trois ans
pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré.

L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette
utilisele papier pour décorer une boîte à cadeau pour occuper
le dessous de l'arbre de Noël.

Le lendemain matin, la petite enfant apporta à son père en lui disant:
C'est pour toi papa!. Embarrassé, son père regretta sa trop vive action.

Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boîte était vide.
Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit y avoir quelque chose dans la boîte?."

La fillette regarda son père les yeux plein d'eau et lui dit:
"Mais papa, la boîte n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!!"

Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction".

Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette.
Le père garda longtemps la boîte, tout près de son lit.

À chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boîte, en tirant un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que
l'enfant y avait mis.

Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun de nous, comme humain, de disposer d'une telle boîte dorée,
remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfant,
de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu.

Existe-t-il de plus grand cadeau?

7 février 2005

L'ÂNE DU FERMIER

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.

L'animal gémissait pitoyablement depuis des heures et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il a décidé que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon. Ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.

Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.

Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.

Et, à la stupéfaction de chacun, l'âne s'est tu.

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant.

Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins continuaient à pelleter sur l'animal, il se secouait et montait de plus en plus haut.

Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter !

Morale :

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais... Il ne faut jamais abandonner !

Rappelez-vous 5 règles :

1. Libérez votre coeur de la haine.
2. Libérez votre esprit des inquiétudes.
3. Vivez simplement.
4. Donnez plus.
5. Attendez moins.

7 février 2005

1er écrit

Ce blog a été crée pour aider les gens, les jeunes comme les vieux, les heureux comme les malheureux, pour les conseiller, mettre des petites leçons de vie, des histoires racontées, des histoires vécues... Pour que chacun puisse raconter sa propre histoire, pour nous faire prendre conscience de certaines choses... Nous apprendre une leçon...

En fait, ce blog est dédié a tout le monde... Vous pouvez m'envoyer vos histoires, me demander des conseils... Je garderai la confidencialité, et avant de publier quelque chose, je le ferai avec votre accord sur vos histoires.

Défoulez vous bien, vous êtes ici pour...

Et n'oubliez pas qu'il y a toujours de la lumière dans les endroits les plus sombres...

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